Et quand je dis "De la force du faire", j'emploie un forme désuète mais délicieuse de titrage. Je ne veux absolument pas parler de la résistance du père de l'acier avec un faute d'orthographe.
Ceci étant précisé, nous pouvons passer à la haute pensée du jour.
Ne vous est-il jamais arrivé de vous demander pourquoi vous aviez fait telle ou telle chose ? Au delà des regrets ou des auto-félicitations, n'avez-vous point accepté l'idée que votre vie entière dépendra - que vous le vouliez ou non - de ces actes passés parfois bien malgré vous ?
À contrario : sans ses actes, connaîtriez-vous les bonheurs, aussi fugaces soient-ils, les joies, les peines, la vie ? Probablement pas. Pas les mêmes en tous cas. Et même si tel était le cas, vous ne pourriez y prendre votre part de responsabilité.
Donc une conclusion urgente s'impose :
Si aujourd'hui tu ne sais ce que tu fais ni pourquoi tu le fais, fais-le quand même.
Demain tu le comprendras, peut-être.
Mais à la réflexion (il est toujours bon de réfléchir après avoir dit quelque choses, quand comme ici on n'a pas réfléchi avant) il peut être préférable d'arrêter de faire quelque chose qu'on ne comprend pas, histoire de prendre le temps de le comprendre et éventuellement d'en modifier la substance pour en corriger les effets.
Donc voici là un billet bien difficile à avaliser, auquel j'aurai réfléchi a posteriori comme s'il m'avait fallu l'écrire sans a priori.
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