Le labeur a cette vertu que cultive l'homme, et c'est en bûchant qu'il devient bûcheron.
En analysant cette pensée du jour, on constate que l'humour donne indéniablement un avantage à l'homme sur l'animal : il peut parfaitement devenir comique.
ppp/ttt (Petites Pensées Personnelles sur la Toile de la Taille de la Terre)
vendredi 18 août 2006
dimanche 23 octobre 2005
Comment faire ?
Avant l'informatique était simple, quand ça imprimait pas, on pouvait bidouiller les fils.
(Si, si, c'est vrai, c'est même IBM qui l'a dit dans une campagne télévisée, alors vous pensez bien que ce n'est pas n'importe quoi !)
Mais maintenant, entre les wifi, bluetooth et autres liaisons HF ou infrarouge il n'y a plus de fils en informatique... Alors comment faire pour réparer quand ça marche pas ?
(Si, si, c'est vrai, c'est même IBM qui l'a dit dans une campagne télévisée, alors vous pensez bien que ce n'est pas n'importe quoi !)
Mais maintenant, entre les wifi, bluetooth et autres liaisons HF ou infrarouge il n'y a plus de fils en informatique... Alors comment faire pour réparer quand ça marche pas ?
samedi 1 octobre 2005
Une pensée de penseur de plus, dans la toile mondiale du monde...
Voilà, j'ai cédé à la mode du 'blog'.
À force d'être sollicité de partout, ou au moins de la barre d'outil Google pour FireFox, je livrerai donc quelques pensées ici, que votre reconnaissance éternelle attend avec impatience depuis longtemps, je le vois d'ici à vos petits yeux humides. Si, si. Laissez-moi rêver...
Sérieusement : comment croire que les pensées d'un quidam, ou pire, que sa vie perso, puisse intéresser quiconque ?
Et pourtant, comment ne pas céder à la tentation de livrer ses faits et gestes, ses profondes pensées philosophiques maison à la postérité si facilement ?
Allez, je me lance : la guerre, c'est mal (c).
À force d'être sollicité de partout, ou au moins de la barre d'outil Google pour FireFox, je livrerai donc quelques pensées ici, que votre reconnaissance éternelle attend avec impatience depuis longtemps, je le vois d'ici à vos petits yeux humides. Si, si. Laissez-moi rêver...
Sérieusement : comment croire que les pensées d'un quidam, ou pire, que sa vie perso, puisse intéresser quiconque ?
Et pourtant, comment ne pas céder à la tentation de livrer ses faits et gestes, ses profondes pensées philosophiques maison à la postérité si facilement ?
Allez, je me lance : la guerre, c'est mal (c).
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