Chaque jour est un jour nouveau, qui laisse le passé pour s'en rappeler, et regarde l'avenir pour espérer. |
ppp/ttt (Petites Pensées Personnelles sur la Toile de la Taille de la Terre)
samedi 9 avril 2016
Émerveillement
mercredi 23 mars 2016
dimanche 20 mars 2016
Empruntant le bonheur
En printemps le bonheur aujourd’hui,
l’un, brun, s’étend dans l’instant, l’autre, de blanc et de noir, allume ces thyms
vendredi 4 mars 2016
L'âne y verse, hère !
Hier, le 03 mars, cela faisait treize ans que sur une insistante demande familiale nous sommes revenus nous installer dans la région toulonnaise, après avoir scellé notre sort, confiants.
Le 03/03/03 donc, nous nous installions pour quelques mois dans l’appartement provisoire que nous occupons encore aujourd’hui, heureux qu’une longue lutte cesse enfin de guerre lasse, pauvres fous que nous étions d’avoir encore et malgré tout cru en la parole d’une famille qui n’a de familiale que l’apparence, d’un patriarche qui n’a d’un père que le nom.
Treize ans. Très envie de hurler, oui.
Pardonnez cette énigmatique publication, dans laquelle vous pouvez cependant deviner le désarroi qui m’assaille, m'assomme, me meurtrit chaque jour, et me déchire chaque nuit.
Rassurez-vous - ou tremblez, c’est selon qui vous êtes et ce que vous faites - viendra le temps où la vérité surgira, où les souffrances s'apaiseront devant une force tranquille enfin installée, et où la justice ne sera plus un vain mot paravent, mais une réalité au delà de l’atroce, plus puissante que l'insupportable, plus douce à mon cœur que la plus grande des victoires.
Le Sphinx était connu pour dévorer ceux qui échouaient devant ses énigmes, mais à ce vieux lion à tête humaine, à cet hybride monstrueux et stérile dévoreur d’innocences fragiles, je préfère le Phœnix, cet oiseau merveilleux de beauté et de ressources inépuisables, qui toujours de ses cendres a su, sait et saura renaître.
lundi 29 février 2016
La journée bissextile
Aujourd'hui nous sommes le 29 février, Journée bissextile.
Comme tous les 4 ans il va encore falloir que je supporte les ardeurs de mes oncles et tantes.
Mais je commence à me demander si on ne m'aurait pas menti...
Comme tous les 4 ans il va encore falloir que je supporte les ardeurs de mes oncles et tantes.
Mais je commence à me demander si on ne m'aurait pas menti...
(merci à Google pour son Day-Doodle si justement illustratoire)
jeudi 25 février 2016
jeudi 11 février 2016
Mort… Hein ? Tonne haut !
Affirmer que Maurin des Maures règne sur l’outre-tombe serait aussi incongru que proclamer Tonin des tonnes comme empereur de la boisson à foison.
Tout ceci n’est que vue de l’imagination, en hommage pour le grand Aicard.
Et en le faisant(*), bien sûr.
(*) rappelons ici que le sieur Maurin était braconnier.
Un hommage, on vous a dit.
Tout ceci n’est que vue de l’imagination, en hommage pour le grand Aicard.
Et en le faisant(*), bien sûr.
(*) rappelons ici que le sieur Maurin était braconnier.
Un hommage, on vous a dit.
mardi 9 février 2016
Lâche et prise
Qu’il est difficile de regarder la vérité en face, surtout quand elle s’éloigne mais reste solidement attachée à nos oreilles par des élastiques !
Quoiqu’en disent les sagesses les plus populaires comme les plus philosophiques – remarque cher animal lecteur(*) cette incongruité malotrue mais jouissive qui consiste à placer en antonymie le populaire et le philosophique – quoiqu’elles puissent en dire donc, il est pratiquement impossible de se tenir informé lorsqu’on a décidé de lâcher prise.
De se tenir au courant, si vous préférez.
(*) oui, le lecteur assidu de ce site non moins assis et dû, qui a un peu de mémoire et d’attention il s’entend, aura noté qu’il s’agit ici d’un hommage calambourifère et référenciateur à notre soif commune de lecture sans fin.
Et j’aurais dû dire “à notre faim commune de lecture sans soif”.
Quoiqu’en disent les sagesses les plus populaires comme les plus philosophiques – remarque cher animal lecteur(*) cette incongruité malotrue mais jouissive qui consiste à placer en antonymie le populaire et le philosophique – quoiqu’elles puissent en dire donc, il est pratiquement impossible de se tenir informé lorsqu’on a décidé de lâcher prise.
De se tenir au courant, si vous préférez.
(*) oui, le lecteur assidu de ce site non moins assis et dû, qui a un peu de mémoire et d’attention il s’entend, aura noté qu’il s’agit ici d’un hommage calambourifère et référenciateur à notre soif commune de lecture sans fin.
Et j’aurais dû dire “à notre faim commune de lecture sans soif”.
Inscription à :
Articles (Atom)