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samedi 9 janvier 2016

Monarque, où es-tu ?

C'est bien parce qu'il est toujours sur sa réserve que Robin des bois ne s'exclame qu'avec une très légère voix dans sa recherche de l'arme parfaite :
"Monarque, où es-tu ?"

(inspiré du doodle du jour :
09/01/2016 : 41e anniversaire de la découverte de la réserve de biosphère du papillon monarque
:-)

dimanche 27 décembre 2015

Question de couleur

Quand on parle de la mère Michelle, on ne veut pas dire qu'elle est aigrie.

C'est un peu comme quand on dit que tel homme est aigri, si on ne fait pas la liaison on ne veut pas pour autant dire qu'il est saoul.

En d'autres termes la grisaille peut être haute en couleur, et l'eau cale.



jeudi 17 décembre 2015

De la politesse, bordel !

Bonjour !

Qu’il est doux à mon cœur ce pouvoir chantant d’un “bonjour” lancé à la collégiale par l’entrant !
Qu’il est fort ce lutin qui d’un “merci” enfouit tout désir d’obligation dans les gouffres des exigences déjà comblées ! 
Qu’il est bon de s’entendre souhaiter un bel “au revoir” lorsque la séparation devient inévitable pour vaquer vers d’autres terrains en préparant un retour cependant toujours incertain.
Qu’il est aimable à souhait le chatoiement du voussoiement amical, celui qui, loin d’être une marque hautaine comme les fâcheux et autres malotrus veulent le faire croire, permet à l’amitié de s’épanouir dans le respect de la sphère intime de l’autre, celui qui ne cache pas, dans une fausse promiscuité, que l’autre est justement un être à part, qu’il mérite pleinement notre considération, et à qui nous signifions par une courtoisie constante et bienveillante que si nous l’aimons, nous lui reconnaissons aussi et par là même sa totale indépendance.

Vous l’aurez compris, ami lecteur qui avez franchi l’obstacle de la complexité taquine de mes phrases coquines, je prône la courtoisie, la politesse, la bienséance. 

Des termes certes surannés car ils sont devenus inutilisés sinon péjoratifs pour quelques uns, mais dont la nécessité implique une modernité urgente, vitale, extrême.

Il s’agit ici de dire clairement combien j’aime le rapport courtois, combien j’ai besoin, lorsque je rencontre les autres, de me sentir respecté, de pouvoir m’exprimer en personne civilisée, et enfin d’évoluer dans un monde que je constate rassurant car éduqué.

La barbarie n’est jamais loin de l’être humain, qui sans éducation à son humanité ne serait qu’un animal inadapté à un monde sauvage, qui le dominerait donc sans autre état d’âme.

S’il peut bien sûr y avoir encore bien des débats sur le devenir de l’humanité et sur son incidence dans son milieu naturel de vie - j’ai nommé notre planète Terre - il est clair que celui de la nécessité d’un comportement social poli pour une évolution saine en société est refermé depuis longtemps, tant tout le monde s’accorde sur le simple fait qu’il ne peut y avoir de rapports sociaux équilibrés sans politesse généralisée.

Bien sûr, l’éducation diffère d’une culture à l’autre, les usages, les coutumes, les comportements s’adaptent. 
À bien y regarder, les principes sont toujours les mêmes : commencer une entrevue par une parole d’introduction pour signifier clairement notre considération de l’autre (un simple “Bonjour” suffit dans la plupart des cas) ; marquer le respect de la sphère intime de l’autre par une distance systématique (le “vous” français, qui est même systématiquement traduit en anglais par le “you” pour remplacer aussi le “tu” qui n’existe tout simplement pas du tout dans la langue de Shakespeare - preuve supplémentaire du pragmatisme anglo-saxon) ; remercier systématiquement les autres pour le temps qu’ils ont accepté de bien vouloir nous consacrer (quoi que nous fassions, soyons conscient que nous prenons toujours du temps aux autres et soyons leur reconnaissant !) ; et enfin se séparer sur le souhait de garder se rapport établi (un simple “Au revoir” a toujours le charme de dire l’espoir d’une prochaine rencontre).

Alors je souhaite aller plus loin que ce simple constat, je souhaite que nous retrouvions tous le plaisir à la fois si intense et si doux de la courtoisie, et je sais qu’il reste accessible à tous ceux de bonne volonté qui ne céderont pas à l’injonction brutale de la promiscuité imposée, mais qui sauront, par un sourire, par une décontraction bienveillante, par une force calme et sereine, par une certitude empreinte de désir, dire bonjour systématiquement lors des nouvelles entrevues quotidiennes. S’adresser toujours aux autres par le vouvoiement. Penser systématiquement à remercier ne serait-ce que pour le temps passé avec nous. Et enfin exprimer le souhait d’une revoyure quand vient le temps de la séparation.

Merci de votre délicate attention, de vos gentilles intentions, et à bientôt !

mercredi 2 décembre 2015

mardi 10 novembre 2015

De la solitude


L'étonnant et amusant paradoxe des bons moments de solitude, 
c'est qu'on aime les partager !


Absolument politiquement correct

Dans les locutions qu'il convient maintenant d'utiliser en lieu et place des anciennes expressions devenues désuètes à force de n'être plus employées pour ne plus jamais vexer personne, il y a icelle.

Sachez que désormais on ne dira plus un érable, mais un arbgrébin.




mardi 20 octobre 2015

De l'incongruité du paradoxe

Il convient de ne jamais prendre personne pour un imbécile,
tout comme il est indispensable de ne jamais sous-estimer pour quiconque son pouvoir d'incompréhension !




dimanche 9 août 2015

À fleur de peau hérésie

Petit bateau, grand bonheur
T'es pas que beau, t'es un flingueur
Quand dans tes voiles, le vent d'Autan
Pousse l'escale, plus qu'en avant
Tu es parfait, il me te fallait ! (*)

(*) À l'Amateur de poésie de qualité, je répondrai que d'une part en poésie il n'est jamais demandé à l'auteur d'expliquer ses choix de formes, et d'autre part je n'avais pas de dictionnaire de rimes.
Alors il faudra qu'il se contente de cette liberté prise sur le bon français.
De toutes façons, nous ne sommes pas ici pour sodomiser les droptères ni capillotracter la grammaire.




samedi 1 août 2015

Thé au riz

Quand on dit qu'il pleut des cordes, on veut dire qu'il pleut beaucoup.

Alors quand on parle de la théorie des cordes, veut-on dire qu'il y a beaucoup de théorie ?

(je vous laisse réfléchir là-dessus ! ;-) )

jeudi 9 juillet 2015

C'est beau, le cri du moustique, la nuit, au fond des bois...

J'ai acheté un anti-moustique sonore, qui imite les harmoniques du moustique mâle pour repousser la femelle, piqueuse uniquement pendant la période où elle porte ses œufs.

Haute technologie, écologie, économie, tout ça... "Et au-delà !"

Ça me fait penser à quand j'avais acheté un briquet "turbo" à base de technologie de la NASA pour les cosmonautes, avant de réaliser que d'une part à la NASA il n'y avait que des astronautes, et d'autres part dans l'espace comme sur la Lune, il est interdit de fumer.

Bon, je ne peux pas dire de manière sûre si ça fonctionne ou si ça ne fonctionne pas :
le son est émis périodiquement avec des interruptions d'une quarantaine de secondes, soit, je le pense assez innocemment, assez pour que la moustique femelle, très fourbe comme on le sait tous, s'empare de ce moment de répit harmonique pour pénétrer dans la chambre et commettre son forfait.

En fait c'est un peu comme un clignotant : ça marche, ça marche pas, ça marche, ça marche pas...

Quand vous entendez un moustique la nuit dans votre chambre, peu vous importe de savoir si c'est un mâle ou une femelle, peu vous importe de savoir s'il est indisposé ou non, peu vous importe d'être ou non charmés par le romantisme de l'histoire amoureuse de ces jolis et dignes représentants de la théorie darwinienne qui dit qu'ont subsisté les évolutions les plus admirables des êtres vivants...
Vous ne dormez pas. Un point, épice et tout.




jeudi 21 mai 2015

mercredi 25 février 2015

Lâcher-prise tout en restant branché ?

Beaucoup de conseillers nous conseillent de lâcher-prise.

Les mêmes, et d'autres, nous conseillent également de ne jamais baisser les bras.

...

Mais alors, si ces excellents conseils sont largement suivis comme tout le monde aimerait nous le faire croire, pourquoi ne voit-on jamais personne marcher dans la rue les mains en l'air ?


samedi 29 novembre 2014

Science ou Patience ?

Ce billet aurait aussi très bien pu s'intituler "Sur le toit et sous le Tao" (oui, c'est aussi encore un jeu de mots), ou même "La physique du Tao" mais là le titre inverse - et non pas son contraire - était déjà pris par l'œuvre de Fritjof Capra, qui s'il n'est pas un membre de ma famille n'en est pas moins éminent.

Bref, fi de digressions, revenons à nos tendres poissons... Pardon, à nos moutons.

Vous connaissez tous la fameuse formule que nous a livré Albert Einstein : E = mc²

Mais avez-vous un petit peu pensé à ce qu'elle peut vouloir dire ?
Rassurez-vous, ce qui suit est du niveau maternelle première année. Bon, j'exagère, disons cours préparatoire, ou élémentaire 2ème année, voire même classe de 6ème pour les plus distraits.

Dans cette formule, "E" veut dire l'énergie ; "m" la masse (ou la matière) ; "c" étant la célérité (la vitesse) de la lumière, qui est une constante dans l'Univers et qui avoisine les 300000 km par seconde.
Oui, c'est assez rapide, en effet.

E = mc² ; en toutes lettres, cette formule veut donc dire qu'une quantité d'énergie donnée est égale à la masse de la matière concernée multipliée par la vitesse de la lumière au carré.
Oui, ça fait beaucoup.

Avec quelques transformations algébriques, la formule nous donne E/c² = m, où si vous préférez
m = E : c² (m égale E divisé par c au carré)

Et c'est là où je voulais en venir : on y voit bien que quelque chose de matériel (évidemment puisqu'il s'agit de matière !) est donné par quelque chose de complètement immatériel : de l'énergie divisée par une constante mathématique !

Oui, d'accord, vu les quantités concernées, ça veut dire qu'il faut énormément d'énergie - vraiment énormément - puisqu'elle est en plus divisée par des nombres gigantesques pour donner un tout petit peu de matière, dont on ne sait d'ailleurs pas grand chose non plus, ni même de laquelle il s'agit, vous l'aurez déjà remarqué.

Au sujet de cette matière restons dans le vague parce que d'une part j'aime bien les vagues, et d'autre part si j'avais dû choisir une matière pour l'exemple j'aurais pris du chocolat, et avec les quantités concernées, la crise de foie n'aurait fait aucun doute.

Mais quand même, que ce soit pour du chocolat dans un estomac (oui, je sais, vous êtes estomaqués par cette transition audacieuse) ou pour un petit caillou dans une chaussure (là je n'ai aucune explication), l'idée que de l'immatériel puisse finalement donner de la matière, moi, ça me transporte dans des rêveries vertigineuses.

Enfin, si je n'ai pas de caillou dans la chaussure, parce que sinon je ne pense plus qu'au caillou.

Je m'arrête là, et je vous laisse rêver vous aussi là dessus. Pas sur le caillou. Ni sur la chaussure. Je voulais parler de l'idée que rien puisse donner quelque chose !
(Faites un petit effort quand même sinon on ne va pas s'en sortir...)

Mais méfiez-vous cependant parce qu'en rêvant énormément - vraiment énormément - qui sait, vous pourriez peut-être subitement matérialiser quelque chose.

Et suivant les circonstances ça pourrait être trop drôle pour être pris au sérieux ! ;-)




mardi 7 octobre 2014

Réflexe, ions, tout ça...

Je vois principalement deux énormes avantages à inciter tout le monde - sans exception - à systématiquement réfléchir :

  1. Tout d'abord, quand on réfléchit, on devient plus intelligent.
  2. Ensuite, et ceci n'est finalement pas le moins avantageux, généralement quand on réfléchit on ne parle pas !


... Je vous laisse réfléchir là-dessus ;-)

dimanche 24 août 2014

lundi 21 juillet 2014

Livre de visage, je te tourne le dos et vogue ainsi vers d'autres horizons !

Un petit 'euphorisme philoétique' comme parfois je succombe à en commettre :

On ne dit pas "le jeu de goéland",
mais "ce jeu d'échecs asiatique s'installe dans la durée".

J'avais, il y a quelque jours, publié ce mot - qui n'a d'esprit que celui qui le lit - sur Facebook.

Comme j'avais également l'habitude de publier des photos que je trouvais agréables à regarder et dont je voulais partager la beauté, ou encore d'autres publications originales comme des liens au sujet de mes inventions, et également des petites vidéos très courtes montrant simplement des paysages, des moments fantastiques, des instants magiques, etc.

Vous en trouverez quelques unes ci-dessous.

Beaucoup d'entre-vous se sont inquiétés de ma disparition de fb.
Je vous remercie infiniment de la délicate attention que vous m'avez porté, et bien que j'aie répondu à chacun d'entre vous qui m'avez fait la gentillesse de m'écrire, je tiens à expliquer ici pour les autres le pourquoi de ma décision : c'est simplement le choix d'un temps qui n'est pas extensible et que je préfère passer sur mes projets.
Comprenez : d'un côté il y a un réseau social addictif et chronophage qui n'a pas besoin de moi pour exister et de l'autre il y a des projets créatifs et constructifs qui demandent toute mon attention...

J'ai hésité à fermer mon compte par rapport à mes nombreux amis fb qui sont des personnes absolument délicieuses et qui méritent les meilleurs égards, et finalement j'ai conclu que ceux qui voudraient suivre mes activités pourraient s'abonner facilement et rapidement aux mises à jour de mes publications en enregistrant leurs adresses emails sur mes blog : icelui en ce qui concerne mes activités personnelles bien sûr, et le nauticaerium comme le conceptarum pour suivre mes projets de R&D.

Vous pouvez aussi me contacter via l'adresse mél : blogguy@adalius.fr.






jeudi 12 juin 2014

Le démon demi dit...




Dès mon thé, un démon démonté dément des mantes.


(Explications : aujourd'hui c'est la Saint Guy. Il fallait donc bien que valsent les mots !)



samedi 4 janvier 2014

Humeur maligne

L'humour est probablement un des outils de résilience les plus forts qui soit.
Cependant comme toute bonne chose il convient de ne pas en abuser, car j'en connais qui sont déjà morts de rire.